lundi 11 avril 2011

B1 DOSSIER Journée mondiale de l'eau

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Observez ces deux images :

Que vous évoquent-elles ?

Selon vous, ont-elles un rapport ?

 

 

 

 

Observez cette image.

Décrivez-la le plus précisément possible.


Voici les images originales :


22 mars : Journée mondiale de l'eau            

                                                                                            Aujourd'hui c'est la journée mondiale de l'eau, a l'initiative des Nations Unies depuis 1993, le thème choisi pour 2011 est la qualité de l’eau dans les villes.

L'eau pour les villes: Relever le défi urbain. À l'occasion de la journée mondiale de l'eau, célébrée les 20-22 Mars 2011, les actions menées souhaitent mettre en valeur et encourager les gouvernements, les organisations, les communautés et les individus à s'engager activement dans la lutte contre le défie de gestion des eaux urbaines. L'objectif de la Journée mondiale de l'eau 2011 est de centrer l'attention internationale sur l'impact de la croissance rapide de la population urbaine, l'industrialisation et les incertitudes causées par le changement climatique, les conflits et les catastrophes naturelles sur la gestion de l'eau en milieu urbain.










La même zone avec ses indication géographiques :

Répartition des eaux :

Commentez ce dessin en relation avec ce diagramme








71% d’eau sur la terre soit 1 386 millions de kilomètre cubes (cela ferait une couche de 2.7km d’eau autour du globe).

Les océans contiennent 97,8% de cette eau. Les 2,6 % restants sont repartis entre 7 autres « réservoirs « :



Observez cette carte :

Comparez la situation en France et en Argentine  ________________________________________________________________

Comparez la situation en Afrique du nord et en Afrique Équatoriale  _______________________________________________________________

Comparez la situation en Espagne et en Inde  _____________________________________

Comparez ces deux cartes :

Complétez ce texte avec les bons mots de liaison :



Alors que
Tandis qu'
Mais que
Ainsi que

Les deux cartes représentées montrent les ressources en eau douce (précipitation) __________la consommation d'eau dans le monde.
En Afrique centrale nous observons que les précipitations sont élevées __________ la consommation d'eau des habitants y est très faible (0 à 10% d'eau par an, plus de la moitié de la population survit avec moins de 6 L d'eau par jour) ___________ en Europe les précipitations  sont relativement faibles __________ la consommation d'eau des habitants y est élevée.

Cochez la phrase grammaticalement correcte.
[_] En Amérique du Nord les précipitations sont fortes et la consommation d'eau y est également.
 [_] En Amérique du Nord les précipitations sont fortes et la consommation d'eau l’est également.
 [_] En Amérique du Nord les précipitations sont fortes et la consommation d'eau en est également.
   
Cochez les phrases : vrai [V]ou faux [F]
[ _] En Amérique latine les précipitations y sont fortes tandis que la consommation d'eau est faible.
[ _] Pour l'Océanie les ressources d'eau sont importantes et sa consommation est faible.
[_] Quant à l'Asie les précipitations sont moyennes mais la consommation est faible

Conclusion :
Le manque d'eau dans le monde n'est pas du à l'intensité des précipitations mais à l'industrialisation des pays, car les pays qui ont une consommation assez élevée sont des pays majoritairement industrialisé.






Observez ces deux cartes :

Quelles informations nous donnent-elles?




Rédigez de courtes phrases pour décrire la situation :

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Les ressources en eau en France :

Les précipitations en France


Le territoire métropolitain bénéficie en moyenne de 480 milliards de mètres cubes de pluies par an (source : Météo France), auxquels s'ajoutent 11 milliards de mètres cubes provenant des fleuves transfrontaliers (Rhin non compris). Sur ce total, environ 321 milliards de mètres cubes s'évaporent dans l'atmosphère. Le bilan des ressources internes en eau de la France s'élève donc à 170 milliards de mètres cubes par an. Cela correspond à environ 2 800 mètres cubes d'eau par habitant et par an.  En France métropolitaine, le stock des eaux souterraines est estimé à environ 2000 milliards de mètres cubes, et celui des eaux de surface stagnantes (lacs naturels, grands barrages et étangs) à environ 108 milliards de mètres cubes.

 

 

 

 

Limitations de la consommation d’eau en France :



 

Une situation pour le moins paradoxale. Alors que la France fait partie des pays du globe où les précipitations sont plutôt abondantes, chaque année les arrêtés préfectoraux restreignant l'usage de l'eau se multiplient. Rien que cet été (2010), déjà 47 départements ont pris des mesures pour limiter la consommation. Certains d'entre eux doivent faire face à une sécheresse digne de celle de 1976, telles la Mayenne et la ­Sarthe voire même, dans une moindre mesure, l'Ille-et-Vilaine.
Pourtant, la pluviométrie hivernale y est élevée. Mais rien n'est fait, ici comme ailleurs, pour garder l'eau et la stocker en cas de coup dur. Au contraire, la multiplication des drainages et fossés dans les champs aboutit à ce que l'eau de pluie parte très vite dans la rivière, ce qui la conduit ensuite directement à la mer, sans que les riverains n'aient pu en bénéficier. «Sur les 170 milliards de mètres cubes d'eau de pluie qui tombent chaque année en France, seuls 4,5 milliards sont utilisés, les 97% restant partent à l'océan», déplore Christophe Terrain, président de l'Agpm (Association générale des producteurs de maïs). «Il faudrait créer de la ressource supplémentaire pour mieux gérer les périodes de ­crise et non l'inverse comme prévoit de le faire la loi sur l'eau», ajoute Arnaud Tachon, exploitant dans le Sud-Ouest et membre du Syndicat des jeunes agriculteurs.

 

 

Observez ce tableau.

Selon vous est-ce similaire en Argentine ?






Lisez ce texte rédigez un résumé :

L’eau pour les villes :

répondre au défi urbain

22 mars 2011 - Journée mondiale de l’eau
30 janvier 2011

Le thème retenu cette année pour la traditionnelle Journée mondiale de l’eau du 22 mars a pour but d’attirer l’attention du grand public comme des décideurs sur les défis de la gestion de l’eau dans les villes, ainsi que sur les impacts qu’exercent sur les réseaux d’eau urbains la croissance démographique rapide, l’industrialisation, les changements climatiques, les conflits et les catastrophes naturelles.

Les Nations Unies rappellent à ce propos que pour la première fois dans l’histoire de l’humanité la majorité de la population vit dans des villes et que l’urbanisation du monde se poursuit sur un rythme exceptionnel. La raison en est non seulement l’accroissement naturel de la population, mais aussi l’exode rural et le reclassement des zones rurales en zones urbaines. Et vu que cette croissance démographique urbaine est plus rapide que le développement des infrastructures, les bidonvilles eux aussi ne cessent de se multiplier et de s’agrandir dans les pays les plus démunis.
C’est dans les services d’eau, de l’assainissement et de la gestion des déchets que les sous-investissements se révèlent les plus flagrants. Le taux de couverture des réseaux de distribution d’eau est à la baisse en de nombreuses agglomérations, les populations pauvres sont les plus affectées par les déficiences des services de distribution et ce sont elles qui de façon paradoxale paient les prix les plus élevés pour avoir accès à de l’eau.
Dans les pays en développement, les municipalités qui ont trouvé des solutions durables en matière d’assainissement urbain sont peu nombreuses : les services publics sont trop souvent dans l’incapacité d’agrandir les réseaux d’égouts dans les bidonvilles ou de traiter la totalité des eaux usées qu’ils récupèrent. L’élimination des déchets solides représente elle aussi une menace croissante pour la santé et l’environnement.
Les villes sont certes difficiles à gérer et les modes de gestion varient selon les différents types d’environnements urbains. Mais c’est aussi dans les villes, plus qu’ailleurs, que l’on peut mettre en œuvre les moyens efficaces d’entretien et de développement des infrastructures, y compris les services de distribution d’eau, d’assainissement et de traitement des déchets.
La principale opportunité qui s’offre aux municipalités dans leurs politiques de gestion urbaine est d’accroître les possibilités de recyclage des eaux usées et des déchets. On dispose aujourd’hui de technologies de plus en plus efficaces de traitement qui, lorsque les villes y recourent, permettent de réduire les risques de pollution de l’environnement à l’aval des fleuves et des rivières.
Les changements climatiques affectent également l’eau en milieu urbain, en quantité et en qualité, à cause notamment des inondations, des sécheresses ou des catastrophes naturelles. Les impacts de ces variations du climat se traduisent également par une plus grande complexité des interventions techniques, par des dysfonctionnements dans la distribution et donc aussi par une augmentation du coût des services d’eau et d’assainissement. On s’attend aussi à ce que les changements climatiques et les événements naturels extrêmes provoquent de nouveaux mouvements migratoires vers les zones urbaines et, par voie de conséquence, une pression encore plus forte sur les systèmes urbains. (Source : informations Nations Unies)





Observez ce document
Décrivez ce qu’il représente
Utilisez les mots suivants pour faire une description orale puis écrite :





Ressources en Amérique Latine

En Amérique latine il y a des grands fleuves comme l’Orénoque o le Magdalena, mais il y a aussi des réserves moins connues comme l’aquifère Guarani qui contient plus de 40 000 km3 d’eau sous l’Argentine, le Paraguay et le Brésil. Si a cela on ajoute les neiges éternelles des cordillères et des glaciers du cône sud, l’Amérique Latine dispose de 65% des eaux douces du monde, selon les calculs du Programme Environnemental des Nations Unies (PNUD)

La Mésopotamie argentine

Au nord-est du pays, la région d'Argentine1 appelée Mesopotamia est composée des provinces Misiones, Corrientes et Entre Ríos bordées par les fleuves Uruguay à l'est et Parana à l'ouest. Les cataratas del Iguazu (chutes d'Iguaçu) constituées de 275 cascades de toutes dimensions, se succédant ou s'interférant sur 2,5 km, développées selon une courbe (concave côté argentin).et la chute de 80 m de haut (47 au Niagara) en sont l'un des fleurons2. La célèbre attraction, qui attire des millions de touristes chaque année, connaît cependant des temps difficiles. En effet, les chutes, autrefois fougueuses et abondantes, sont aujourd'hui de maigres filets d'eau, à peine capables de dissimuler les roches, d'ordinaire englouties sous les eaux. Et pour cause : la sécheresse actuelle, sans précédent depuis 70 ans, a divisé leur débit par 7. Ce qui, bien entendu, rend le site beaucoup moins attractif. et fait penser au cri d'alarme lancé par le WWF3 au cours de la Semaine mondiale de l'eau à Stockholm du 20 au 26 août 2006 et du Forum mondial de l'eau à Mexico quelques mois plus tôt.                                                                        Située au nord-ouest de la province de Entre Ríos, dans le « couloir » du fleuve Uruguay, Federacion Entre Rios est distante de 450 km de Buenos Aires. Première réalisation du genre en 1994 dans cette région, les thermes de la ville de Federacion entre Rios4 sont réputés auprès des touristes argentins.Dans ces thermes, l'eau sourd d'une profondeur de 1 260 mètres ; elle provient du système aquifère Guarani5. Il occupe une surface d'environ 1.190.000 km² (superficie supérieure à celles de l'Espagne, de la France et du Portugal réunis) ; c'est pourquoi on lui a aussi donné à un moment le nom d' « Aquifère géant du Mercosur ». Dans les quatre pays qui forment le Mercosur, la nappe aquifère se répartit comme suit : elle représente une superficie approximative de 225.000 km² (7,8%) en Argentine, de 850.000 km² au Brésil (soit environ 9,9% du teritoire) ; au Paraguay, 70.000 km² (17,2%) et en Uruguay, 45.000 km² (25,5%. Malgré de nombreux articles sur le sujet de cet aquifère, le sujet est mal connu et des travaux sont en cours dont les conclusions seront rendues en mars 20076. Il s'agit du projet "Protection environnementale et développement durable du Système aquifère guarani", mis en route par les quatrre pays avec l'appui du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), la Banque mondiale (BM) et l'Organisation des Etats améncains (OEA).










Pour résumer la situation:




 

 

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